Solange La Bourge « Saison 3 » : Le Marché Aux Esclaves. L’Enchérisseur Baise La Bourgeoise Comme Sa Salope ! (Partie 14-4/5)

La semaine dernière, Patrick avait voulu me faire découvrir une nouvelle expérience, dont j’avais entendu parler comme beaucoup de monde dans le milieu libertin : « Le Marché Aux Esclaves ». Pratique désuète de nos jours n’appartenant qu’au passé et dont j’avais le souvenir de Jean-Léon Gérôme qui avait peint des esclaves de l’antiquité vendus lors de ces marchés spécifiques.

Lorsque mon mari m’avait parlé de ce genre d’enchère, je m’étais imaginée nue sur une scène et présentée à des hommes d’Afrique du nord surenchérissant pour devenir leur esclave dans un sérail quelconque.
— C’est une soirée privée ! M’avait relaté Patrick. Je ne sais pas encore, mais il y aura plusieurs femmes, et vous serez mises aux enchères à je ne sais combien d’hommes et celui qui remporte offre, pourra faire de toi ce qu’il veut pour une durée de deux heures.
— C’est-à-dire, « faire ce qu’il veut de moi » ?
— Il peut te proposer de jouer aux cartes, faire un scrabble ou plus probablement te baiser, c’est le but de la soirée. Patrick me vanta la soirée, qui ne pouvait qu’être enrichissante pour une femme, surtout comme moi. Tout d’abord d’être vue, d’être enviée, de voir des hommes se battre à coup d’euros pour obtenir mes faveurs etc.

J’acceptais sans en savoir davantage malgré toutes mes questions. La seule chose que je savais, je connaissais l’organisateur, le directeur de la société SVX, une vieille connaissance de plus de vingt ans. En effet Maurice fut le premier homme à qui je m’étais offerte les yeux bandés, devant mon mari. Voir « la première offrande ». L’homme avait soixante-dix ans aujourd’hui, un détraqué sexuel selon Patrick, mais qui avait accepté son invitation pour le côté atypique de la soirée.

Nous avions rendez-vous pour dix-neuf heures, dans une propriété près de Pontoise un samedi de mars. Mon époux m’avait demandé de m’apprêter, à être présentable physiquement, mais je m’en doutais.

Je n’avais donc pas choisi de vêtements spéciaux ou sophistiqués, je n’en n’avais nullement besoin. En début d’après-midi, je m’étais épilée une énième fois de la semaine pour avoir un sexe aussi glabre que possible, j’avais pris une douche tout en lavant mes parties intimes et je m’étais maquillée, juste ce qu’il fallait. Les seuls vêtements permis lors de la présentation étaient les bas, autofixants. J’en portais des noirs, chaussée d’escarpins à talons aiguilles du même coloris. Pour le temps du transport je me vêtis avec une jupe et un polo sans sous-vêtements qui laissent des marques disgracieuses sur le corps que je devais dévoiler devant les acheteurs.

Cette vente d’esclaves se déroulait dans la propriété de l’ex directeur de la société SVX. Maurice lors de ses soirées, se faisait appeler Sir Ducan. Il étreignit chaleureusement Patrick, lorsque nous pénétrions dans sa grande demeure, puis en me considérant :
— Toujours aussi charmante Solange, je dirais même peut-être encore plus désirable qu’il y a dix-sept ans si ma mémoire est bonne.

Comme il était convenu, les femmes devaient être séparées des hommes, dès leur arrivée afin de préserver la surprise et de ne pas influencer de quelque manière que ce soit les enchérisseurs. Béatrice que je présumais être l’épouse de Maurice, vint vers moi et m’emmena dans une chambre, où deux autres femmes, faisant partie du cheptel étaient déjà arrivées. La première avait environ, la soixantaine, légèrement enrobée, la seconde, une jolie asiatique de mon âge. Lorsque deux autres futures esclaves vinrent nous tenir compagnie, Béatrice nous apporta une collation et nous expliqua plus en détail le déroulement de la soirée.
— C’est Sir Ducan qui va présider la soirée, en ce moment il est avec ceux qui vont vous désirer, ils boivent un verre, et la soirée commencera réellement vers vingt heures.
— Vous organisez ce genre de vente assez souvent, intervint une des femmes ?
— Une fois par mois environ.

— Comment fait Sir Ducan pour recruter hommes ou femmes ?
— Ça fait au moins quarante ans qu’il est dans le milieu du libertinage, du BDSM et bien d‘autres choses, ça marche par bouche à oreille, comme pour Solange. Il connaissait son mari depuis assez longtemps, alors il lui a téléphoné et proposé d’offrir sa femme.
— Offrir ? Je croyais que c’était une mise aux enchères réelle, intervint l’asiatique.
— J’ai employé le mauvais mot, oui les types vont miser sur vous, et l’argent vous en disposerai à votre guise pour une association caritative de votre choix. Côté financier, sachez que pour participer aux enchères, les hommes doivent s’acquitter du droit de participation, pour défrayer Sir Ducan du pot qu’il donne actuellement.
— Et comment ça…

La femme venait d’être interrompue par Sir Ducan qui venait d’entrer dans la pièce.
— Allez mes petites putes, suivez-moi, c’est le moment de nous amuser.
Nous l’avions suivi toutes nues, dans l’immense salon. Tous les meubles furent retirés et certains repoussés contre les murs, laissant ainsi la place pour l’installation d’une estrade solide et improvisée, faites de planches, posées sur des tréteaux. Devant nous, sur le parterre, des hommes impatients étaient assis sur des chaises. D’après mes comptes, dès notre venue pour la présentation générale des esclaves, seize surenchérisseurs sifflèrent d’admirations puis des commentaires fusèrent à notre égard.

Malgré notre nudité, nous étions intimidées restant presque prude, regardant le bout de nos escarpins, les mains croisées sur notre sexe. Nous étions toutes alignées quand Sir Ducan jouait le maître de cérémonie avec comme seule baguette de chef d’orchestre, une tapette à mouches.
— Mesdames, levez votre joli minois que ces hommes dont l’un vous possédera, puisse voir au moins une fois votre visage, car il n’en n’aura pas le loisir quand il vous enculera comme une chienne !

Les rires et les sobriquets de tous genre éclatèrent.
La première femme aux côtés de Sir Ducan se fit cingler les mains par la tapette.
— Qu’est-ce que ça veut dire ? Retirez-moi toutes vos mains, on est ici pour voir votre chatte, votre cul, vos mamelles pour celles qui en ont.

Le ton était donné, nous nous tenions au garde à vous, sans savoir comment il fallait nous tenir. De l’état de femme, nous devenions des esclaves, nous n’avions rien à dire, rien à faire, sinon que d’attendre que le plus fortuné paye pour posséder l’une d’entre nous.
— Messieurs ! Voici les cinq femmes esclaves disponibles ce soir. Je vais vous les présenter individuellement, dès qu’une d’elles vous sera proposée, les enchères commenceront. À l’adjudication de l’offre la plus élevée par esclave, Béatrice vous accompagnera dans une chambre où vous aurez deux heures, maximum pour faire ce que vous voulez de votre propriété. Sauf si votre femelle émet lors de sa présentation, ne pas vouloir réaliser une pratique particulière. Compris Messieurs ?

Nous restâmes trois minutes ainsi, devant ces hommes qui nous jugeaient, montraient du doigt, tout en discutant entre eux. La première de la file resta sur l’estrade tandis que nous nous éclipsâmes toutes les quatre. Lorsque l’asiatique avait trouvé acheteur, Sir Ducan appela moi prénom. J’étais la deuxième de la liste pour cette soirée.

Au milieu de l’estrade, seule, tous les regards emplis de convoitise inspectèrent mon corps. Patrick était debout derrière les hommes au fond de la salle, souriant et fier qu’on le jalouse. Sir Ducan, tel un maquignon, me fit le tour en appréciant mes formes et en humant mon parfum.
— Messieurs, je vous présente Solange, que mon bon ami Patrick nous offre pour la soirée. Vous pouvez l’applaudir, il souhaite que sa femme soit à la hauteur de sa réputation de salope !

Les types se levèrent comme un seul homme et l’applaudirent en se retournant pour lui sourire.
— Messieurs, du calme, comme la précédente pouliche, je vais vous la présenter brièvement puis vous pourrez venir la jauger chacun votre tour et jamais plus, de trente secondes !
Que voulait dire en disant « la jauger » ? Je n’avais plus le temps d’y réfléchir, Il enchaînait aussitôt :
— Solange a quarante-trois ans !

De sa tapette qu’il plaça sous mon sein gauche pour le soupeser, il poursuivit :
— Une paire de mamelles à vous repaître pendant les deux heures, mais pas que ! Une chatte aussi lisse que les fesses d’un bébé, pour les amateurs, un régal.
Quant à son cul, tout simplement un délice. Croyez-moi, j’y ai goûté !
— Tu te fais enculer Solange ? Lança un type.
J’opinais d’un signe de tête, j’étais trop intimidée pour pouvoir parler.
— Très bien ! Maintenant, dis-nous les pratiques que tu ne veux pas faire ce soir ?
— Euh… La question était soudaine, et bien qu’y ayant réfléchi, je bafouillais :
— Pas de déviance, scato, uro, main dans mes orifices, euh…
— Et tu te fais baiser au moins ! Ricana un type.
— Dernier point, Patrick m’a fourni un test négatif récent, daté de la dernière semaine de février, alors si vous êtes sain, ne perdez pas de temps avec le latex ! Maintenant Solange, les hommes vont venir juger de ton corps, alors tu te laisses faire et tu la fermes, après ce sera les enchères.

Les hommes se mirent en file indienne tandis que Sir Ducan regardait le chrono de sa montre. Patrick, les bras croisés me fixait. L’ordre des types, ce qu’ils me firent, dirent… reste encore aujourd’hui très confus dans ma tête, mais l’un s’était planté devant moi, il avait craché sur ses doigts et sans préavis, en avait plongé deux ou trois entre mes lèvres intimes tandis que son autre main, s’était mise à pétrir mes seins.
— Putain, tu m’as l’air accueillante ma salope !
— Suivant ! Vociféra Sir Ducan.

Les doigts des hommes fouillèrent autant mon sexe que mon anus, sans délicatesse, bien au contraire. Mes seins furent pétris et mes tétons pincés et vrillés entre leurs doigts. Je n’étais qu’une masse de chair, rabaissée, humiliée par des insultes. À un moment, je ne pus retenir mes larmes, le déchaînement des suivants me firent regretter de n’avoir pu me contenir, c’était leur plaisir pervers. Je m’en voulais, car chacun avait payé cent cinquante euros, pour boire et humilier des femmes pendant deux minutes trente. Le dernier venait de regagner sa place après m’avoir fait un suçon dans le cou alors que son pouce me baisait profondément l’anus, Sir Ducan vint annoncer :
— Mise à prix, trois cents euros, t’es d’accord Patrick ? Mon mari acquiesça.

Plusieurs hommes firent monter les enchères assez vite, qui était de six cent-vingt euros, seul moment de fierté de la soirée pour moi, je valais six cents… Non sept cents euros puis...
— Adjugé à sept cent cinquante euros, elle est à toi. C’est comment ton prénom ?
— Arnaud !

Aussitôt, je me dis que si un type mettait cette somme, ce n’était pas pour écarter les jambes en position du missionnaire, mais que j’allais devoir subir et endurer. Je n’étais pas croyante, mais je priais qu’il ne soit pas un éjaculateur précoce. Il alla voir Patrick et lui tendit la somme en liquide. Mon mari était ravi, il avait l’air de le féliciter. Nous avions prévu de reverser la somme au « restos du cœur »

Béatrice vint vers nous et nous précéda afin de nous montrer la chambre où nous allions baiser.
— Je reviens dans deux heures, fini ou pas.
La porte se referma, j’étais nue, bras ballants devant cet Arnaud qui me détailla. Il était assez bel homme, la petite cinquantaine.
— Tu veux que je te dise Solange pourquoi j’ai mis ce paquet de pognon sur toi ? Tout simplement parce que je t’ai vu chialer tout à l’heure. Et voir sangloter une belle salope comme toi devant son mari parce qu’on t’a mis des doigts dans ton cul, ça m’a fait bander, et j’ai l’envie de te posséder comme une bourge à souiller et crois-moi tu vas le regretter et maudire ton mari de t’avoir amené ici. J’en veux pour mes sept cent-cinquante euros, Salope !

Tout se brouillait dans ma tête à l’entendre vociférer vicieusement. Le temps s’arrêta lorsqu’il me projeta sur le lit, je n’étais plus qu’un pantin, et mes cris et mes pleurs ne cessèrent lorsqu’il commença à me fesser méchamment. Ce n’était que , ses doigts me fouillèrent pour son plaisir pervers et non pour me donner un soupçon d’agrément. Puis il me baisait ou me sodomisait sauvagement et se retirait pour se retenir de sa jouissance. Ma poitrine fut malaxée et triturée, mes tétons vrillés et mordus, Son contentement à me voir souffrir et le supplier déformait son visage dans des rictus satanique. Puis il me giflait et me crachait au visage en m’hurlant dans les oreilles :
— Implore-moi de t’enculer ! Je recevais une gifle ou un crachat et il réitérait. Je veux t’entendre me dire « mets-moi ta grosse bite dans mon cul, allez ! »

J’obtempérais de ne vouloir être défigurée. Il s’acharnait de nouveau en moi. Il téléphona à Béatrice pour lui demander de lui apporter une bière. Ce fut quelques minutes de répit ou son emprise physique se poursuivit verbalement. Maintenant il puait la bière. Le scénario précédent se renouvela, jusqu’au point d’orgue final où il se répandit dans mon anus.

Plus d’une heure de calvaire où je fus prise comme une chienne. Je restais inerte allongée sur le lit à pleurer amis je savais ce qu’il allait se passer, je n’étais pas venue pour faire de la dentelle.
Ce n’est qu’une demi-heure plus tard que je me décidais à retourner chancelante dans la pièce où était mes vêtements.
En me voyant Patrick m’assaillit de mille questions. Je me plongeais dans mon mutisme. Ce ne fut que le dimanche en fin de matinée, que j’avais pu lui raconter, tout dans les détails.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.

Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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